La physique relativiste restreinte.

7 octobre 2022

Le Grand Archimède (Syracuse. -287) affirme la nécessité d'user d'un point d'Appui afin d'exister. "Donnez-moi un point d'Appui et je soulèverais le monde". ... aussi sans point d'Appui valide nous ne sommes rien; moins que rien.

En écho à la supplique du savant Grec le physicien Albert Einstein propose un "Invariant universel " comme point d'Appui valide. L'invariant proposé à l'origine de la physique relativiste restreinte d'Einstein (Allemagne. 1905) est la vitesse de propagation de la lumière dans le vide. Cette vitesse est un "maximum plafond" indépassable pour les objets en propagation dans l'espace vide.

La vitesse de la lumière en propagation dans le vide est une constante universelle d'une valeur de 300 000 kilomètres seconde.

L'animal accélère...

Postulat es-tu là ? Rien ne peut circuler dans l'univers plus rapidement que les ondes électromagnétiques ou les rayons de lumière dans le vide. En conséquence cette vitesse maximale se mesure identique en tout lieu et par tous les Observateurs même puissamment appareillés; et ce quelque soit leur vitesse "propre" et l'endroit où ils se trouvent.

→ La "vitesse de propagation" des ondes électromagnétiques dans le vide affirme l'existence d'une Grandeur maximum indépassable et dès lors universelle.

Antérieurement l'astronome Galilée (Italie.1632) fondait sa physique sur un autre "Invariant universel" qui est "l'état d'immobilité". Le physicien Italien affirme les mouvements rectilignes uniformes; invariants analogues dans leur expression à l'immobilité. Cette équivalence fondamentale fonde la physique relativiste de Galilée (Italie.1632).

immobilité = mouvements rectilignes uniformes

"Le mouvement (uniforme) est comme rien". Galilée Galileo.

La physique relativiste restreinte d'Albert Einstein.
Allemagne. Suisse. 1905.

Les équations de James Clerk Maxwell (Ecosse.1865) modélisant l'électromagnétisme "imposent" une vitesse de propagation de la lumière dans le vide finie et plafonnée. De ce jeu de quatre équations s'impose une vitesse de propagation des ondes dans le vide constante et maximale.

Le physicien Albert Einstein s'empare de cette constante définitive pour y adosser sa physique relativiste dite "restreinte". Cette physique ne prend en compte que les vitesse uniformes, c'est-à-dire les vitesses sans accélération ou décélération.

Dans ce cadre la vitesse de la lumière (la vitesse d'une onde électromagnétique) est strictement indépendante du mouvement des Observateurs et des mesureurs ainsi que du lieu des observations.

Là, ici et ailleurs réside le secret de la physique relativiste d'Albert Einstein; dans l'usage de ces deux "Invariants universels". L'immobilité et la vitesse de la lumière maximale et constante dans le vide.

Aussi qu'observons-nous réellement au-delà des ajoncs et de l'affut; immobiles à contre ?..

L'espace se conjugue au temps.
"Postuler que la vitesse de la lumière est une constante universelle, indépendante du mouvement d'un observateur va complètement bouleverser les notions même de temps et d'espace". [Trinh Xuan Thuan. La plénitude du vide. Albin Michel].

Si ce n'est la vitesse de la lumière universelle dans son essence qui varie alors ce doit-être la longueur d'espace rapportée au temps qui charivarie et s'adapte aux facteurs locaux... en chaque point de l'espace-temps.

L'équation définissant la vitesse d'un mobile en un point rapporte une longueur d'espace à une durée de temps; soit x = vt
v : une constante; une vitesse uniforme locale.
x : une distance parcourue.
t : une durée - un temps universel.

La lumière en propagation dans le vide parcourt une distance égale à la grandeur x; soit x = ct
c : la vitesse constante et universelle de la lumière dans le vide.
x : une distance parcourue.
t : une durée - un temps local.

Si la Grandeur c est un "invariant universel" et si la grandeur d'espace x varie en un point alors obligatoirement la grandeur temps t local doit varier en concordance de phase avec la grandeur x.

→ Le temps et l'espace se localisent et se conjuguent conjointement en chaque point de l'espace-temps.

Attention ! ce sont les "unités de mesure" des durées de temps et des longueurs d'espace qui se modifient l'une dans l'autre, et réciproquement. C'est le "Contenant espace//temps" qui se modifie dans sa Substance même.

Un "point de vue" à l'échelle (de lecture), de la taille du Globe terrestre.

S'impose à nos observations et à nos lectures l'univers relativiste de Galilée et celui d'Albert Einstein. Des variations conjointes de l'espace et du temps résulteront les "effets relativistes" observés et mesurés par les Observateurs et les mesures. Le temps Einsteinien se dilate ou se ralenti alors que conjointement l'espace se rétracte ou se contracte dans le sens du déplacement dans l'espace.

Un temps "dilaté" ralenti son rythme, sa pulsation de battements et le tic tac de la montre ralenti et peut à l'extrême s'arrêter de battre... si la montre se déplace à une vitesse proche de celle de la lumière c.

Un espace "rétréci" se contracte comme le corps d'un accordéon comprimé par les mains du musicien en fonction de sa vitesse propre. Ces deux "effets relativistes" dépendent simultanément de la vitesse propre du mobile par rapport à celle, référentielle de la lumière c;... et ce en chaque point de l'espace//temps.

L'immobilité est un mouvement rectiligne uniforme dont l'expression dans le réel mesurable est absente. Cet "effet relativiste" résulte de la qualité uniforme (invariante) de la vitesse et non pas de son intensité par rapport à la vitesse de la lumière.

"L'espace//temps" encadre [contient] les phénomènes naturels en cours dans l'univers. Et la forme géométrique du Contenant déformable "fluctue".
Cependant ce sont les unités de comptes mesurant ces fluctuations d'espace//temps qui se modifient conjointement et réciproquement.

Au-delà des apparences s'ouvre grand le rideau des "effets relativistes" aux jeux de miroirs déformants et fort gondolants. La Transformation mathématique d'Hendrick Lorentz et d'Henri Poincaré car bien trop rond (1904) joints à l'opération de Transformation de Galilée (1632) modélisent les métamorphoses incessantes du cosmos et leurs stupéfiants jeux de miroirs distordants.

Les White Cliffs. La côte Anglaise. Les falaises blanches observées en aplomb du haut de la verticale. Contrée du Kent.

White Cliffs of Dover en survol parallèle.

L'univers aux effets relativistes variables se construit sur la base "d'Invariants universels" toujours stables. Le variable localisé en chaque point de l'espace//temps se distingue des invariances universelles globalisées et invisibles; des constantes constamment imperceptibles.

LUCY d'Enfer. Le 4 Décembre 2021. LUCY dévoile son point de vue un peu confuse et distordue.

Une barrière de 30 mètres de hauteur qui peut aisément se contourner. En voilà un monde bien volatil !

Pour le simple plaisir des yeux. Etretat et sa falaise.

→ L'immobilité est un mouvement rectiligne uniforme sans expression notable dans la réalité. Ce mouvement invariant n'imprime jamais la réalité observable et mesurable.

Toi l'Auvergnat. Joan Baez.