L'interaction.
L'interaction entre l'observateur ou la mesure et l'objet observé détermine la nature exactes des phénomènes observés ou des Trajectoires parcourues. Dans cette optique le contenu des observations sont toujours des "résultantes".
De l'interaction entre l'observateur ou la mesure et l'objet observé résulte la Trajectoire parcourue... sa forme, sa direction et sa vitesse de déplacement.
"En mécanique quantique, les propriétés ne sont plus interprétées comme relatives à l'objet seul. Elles sont relatives aux autres systèmes avec lesquels l'objet est en interaction... Werner Heisenberg décrit (avec le calcul matriciel) un électron dans un atome en fonction de... comment il se manifeste à nous". [Carlo Rovelli. Physicien. Helgoland. Flammarion].
Le physicien Italien suggère de remplacer "l'action-réaction" propre à la troisième loi de Newton (1687) par "l'interaction", une notion fondamentalement relativiste qui résoudrait bien des paradoxes particuliers de la physique quantique.
La loi d'action-réaction de Newton (Angleterre. 1687). "L'action d'une force entraine une réaction égale et opposée".
Les constantes locales.
A l'inverse des "constantes universelles" comme peuvent-l'être la vitesse de la lumière c (sensiblement un 300 000 kilomètres seconde) ou la constante de Max Planck h (un infinitésimal d'une taille infime de 10-34) ou encore le rayon de courbure R de l'espace//temps courbé d'Albert Einstein (1915).
Ces invariants universels se distinguent des "invariants locaux" comme le sont l'écart-vitesse |du| des systèmes inertiels Galiléens, l'élément linéaire ds de la métrique de Carl Friedrich Gauss (1820) ou le rayon de courbure local d'une Géodésique d'Einstein.
Les constantes locales n'existent que pour des observations sur de très courtes durées de temps et de courtes longueurs d'espace.
Ainsi le "principe d'équivalence" d'Albert Einstein à l'origine de la physique relativiste Générale (1915) n'est valide que pour un monde à la dimension des Infinitésimaux; le monde des très, mais alors des très minuscules.
Les infinitésimaux = les très minuscules = les Lilliputiens
Le principe d'équivalence d'Albert Einstein.
la chute libre = l'apesanteur... mais uniquement sur une brève durée de temps et sur de courtes longueurs d'espace. Après l'on s'aperçoit de la "supercherie" - de la différence (alors une simple déviation des trajectoires ou lorsque l'on s'écrase au sol... ).
L'histoire optimiste de l'homme en chute libre à l'équivalence finissante; "pour le moment tout va bien... pour le moment tout va bien... pour le moment tout va bien... pour le moment... splattccch !"
_Humm ! pas très moral cette histoire sur une mauvaise pente.
LUCY d'Enfer. Le 20 Janvier 2022.